LAISSEZ-NOUS BOSSER !

ホーム
> 洋書
> フランス書
> LITTERATURE GENERALE
> Actualites, Reportages
> Societe (culture, education, famille, mode, religion, sexualite)

個数：

LAISSEZ-NOUS BOSSER !

ROQUES/LASSERRE

ウェブストア価格 ¥4,341（本体¥3,947）
L'OBSERVATOIRE（2024/02発売）
外貨定価 EUR 17.06
ポイント 39pt

海外の書籍取次会社を通じて出版社等からお取り寄せいたします。
通常4～8週間ほどで発送の見込みですが、商品によってはさらに時間がかかることもございます。
【重要ご説明事項】
1. 納期遅延や、ご入手不能となる場合がございます。
2. 複数冊ご注文の場合は、ご注文数量が揃ってからまとめて発送いたします。
3. 美品のご指定は承りかねます。

●3Dセキュア導入とクレジットカードによるお支払いについて

【入荷遅延について】
世界情勢の影響により、海外からお取り寄せとなる洋書・洋古書の入荷が、表示している標準的な納期よりも遅延する場合がございます。
おそれいりますが、あらかじめご了承くださいますようお願い申し上げます。

◆画像の表紙や帯等は実物とは異なる場合があります。

◆ウェブストアでの洋書販売価格は、弊社店舗等での販売価格とは異なります。
また、洋書販売価格は、ご注文確定時点での日本円価格となります。
ご注文確定後に、同じ洋書の販売価格が変動しても、それは反映されません。

製本 Paperback:紙装版/ペーパーバック版
商品コード 9791032931615

基本説明

Ce sont les entreprises et leurs millions de salariés qui créent la richesse dont notre pays a grand besoin. Une évidence qui semble pourtant avoir été oubliée par un personnel politique enivré de dettes et de déficits ! Tout le monde est d'accord pour dire qu'il manque de l'argent partout (santé, éducation, police, armée, transition écologique, etc.), mais personne n'a songé à aller voir les chefs d'entreprise et les entrepreneurs pour leur demander comment ils pourraient créer plus de richesse. Pour Lionel Roques, patron de PME depuis plus de trente ans et farouche adversaire du télétravail, il est temps de siffler la fin de la récréation et de laisser enfin bosser les entreprises. Pour ça, il faut écouter ceux qui les dirigent et pas seulement les quelques rares patrons médiatiques. Et, n'en déplaise aux adeptes de la cancel culture, savoir regarder en arrière pour analyser les racines du mal avant de proposer des solutions concrètes. C'est ce que fait l'auteur dans ce livre avec un constat im-placable : quarante ans de mauvaises décisions politiques et de bureaucratie ont à ce point dévalorisé l'entreprise et la valeur travail que certains arrivent à faire leur fonds de commerce sur le droit à la paresse. Mais les raisons d'espérer existent et il suffit de peu de choses pour libérer l'énergie des PME et de leurs salariés (dont l'immense majorité fait partie de la fameuse classe moyenne que le gouvernement semble redécouvrir).